New York, USA. Les Nations Unies ont souligné la deuxième Journée Internationale de l’Éducation le 24 janvier comportant un appel à accroître l’engagement politique envers l’éducation, en tant qu’une force pour atteindre tous les Objectifs de Développement Durable.
L’événement a eu lieu au niveau mondial, incluant deux célébrations clés : au siège de l’UNESCO à Paris et au siège de l’ONU à New York. Les écoles et collèges clarétains dans différents endroits, également, ont célébré cette journée, comportant grand nombre d’événements et activités organisées à différents niveaux. Nous avons reçu information du Nigeria et l’Inde au sujet des programmes spéciaux qu’ils ont réalisés pour célébrer cette journée-ci. Le P. Rohan Dominic a participé à l’événement spécial ayant eu lieu à l’ONU, New York.
L’Assemblée Générale de l’ONU en décembre, 2018 adopta une résolution proclamant le 24 janvier Journée Internationale de l’Éducation. Le 24 janvier, 2019 eut lieu la première Journée Internationale d’Éducation. L’événement de la célébration de cette année , au siège de l’ONU, a été organisé par le Bureau du Président de l’Assemblée Générale en étroite collaboration avec l’UNESCO. Le Président de l’Assemblée Générale a proposé un Dialogue interactif de haut niveau sur le thème : « Aligner les politiques d’éducation avec les objectifs de développement durable ».
Le droit à l’éducation est consacré dans l’article 26 de la Déclaration Universelle des Droits Humains. La Déclaration réclame une éducation primaire gratuite et obligatoire. La Convention sur les Droits de l’Enfant, adoptée en 1989, va plus loin en stipulant que les pays feront en sorte que l’éducation supérieure soit accessible à tous. L’Objectif de Développement Durable (ODS) 4 exige garantir une éducation de qualité inclusive et équitable ,et promouvoir opportunités d’apprentissage permanent pour tous.
M. Tiijani Muhammad-Bande, Président de l’Assemblée Générale, a signalé qu’existait une « diminution précipitée »dans la qualité et les standards de l’éducation : une brèche de connaissance chaque fois plus béante entre des étudiants de sociétés techniquement avancées et ceux des pays sous.développés ; une crise d’apprentissage dans de zones de conflit, croissant harcèlement scolaire ainsi que la diminution de l’estime de la profession enseignante.Il a aussi mis l’emphase : « Lorsque une société demeure perpétuellement sous-développée , doit-elle, entre d’autres affaires, ré-évaluer son système éducatif ». M. Muhammad-Bande a affirmé : « Si le système est dysfonctionné ou il ne facilite pas l’acquisition des connaissances et habilités pertinentes , l’économie, dans le meilleurs de cas, va se stagner et dans le pire elle va se collapser ». Il a aussi souligné l’importance de fermer les brèches actuelles de genre, digitales et financières chez l’éducation.
Mme. Amina Mohammed, Secrétaire Générale Adjointe, a fait mention , dans son discours : « Sans éducation nous ne pouvons pas réussir aucun des ODS » .Et elle a ajouté : « L’éducation possède le pouvoir de donner forme au monde ». « Nous avons le pouvoir de donner forme à l’éducation, mais seulement si nous travaillons ensemble et réellement nous apportons les associations nécessaires afin d’offrir une éducation de qualité »., elle a conclu : « Nous avons le devoir d’intensifier nos efforts afin que l’éducation de qualité pour tous , déjà, ne soit plus un but pour demain, mais une réalité.
Dans son discours elle a fait mention le fait que 258 millions d’enfants en bas de 17 ans, ne vont pas à l’école, et que seulement le 49 pour cent complète l’éducation secondaire. De plus environ 770 millions d’adultes sont analphabètes , la plupart d’entre eux , des femmes
L’UNESCOa été la responsable de coordonner les efforts de la communauté internationale pour réussir le ODS 4 , éducation de qualité pour tous.
Les conférenciers ont signalé qu’aujourd’hui existe une grande crise chez l’éducation. Ceci peut se constater de deux manières. Le principal problème partout dans le monde est la quantité d’enfants qui ne vont pas à l’école, étant celle de 278 millions, selon l’UNESCO. Et quelques quatre millions d’enfants réfugiés, eux aussi, se trouvent dehors de l’école. Un autre problème important chez l’éducation est la quantité d’enfants qu’assistent à l’école mais qu’ils n’apprennent comme il faut ou qu’ils n’apprennent pas du tout. . Ce nombre est très grand. Existent , environ, 617 millions personnes qui étudient mais elles ne savent pas lire ni réaliser des mathématiques de base. Existent plus de 400 millions d’enfants qui abandonnent l’école, pour toujours, à l’âge de 11 ou 12 ans et 800 millions d’enfants abandonnent le système éducatif sans aucune qualification. C’est pourquoi, la crise est aussi bien quantitative que qualitative. Existent plusieurs raisons concernant cette crise qualitative . Ceci inclus méthodes d’apprentissage inadéquats , manque de maîtres aptes et absence d’infrastructures appropriées à l’école et rareté de fonds. Facteurs externes tels les conflits, les interruptions globales ainsi que les désastres naturels dû au changement climatique sont aussi en train d’affecter la quantité et la qualité de l’éducation.
Les conférenciers et les représentants des États membres, le système des Nations-Unies, la société civile et les académiciens ont partagé leurs points de vue et ils ont exprimé façons pour faire face à la crise afin d’améliorer la quantité et la qualité de l’éducation et comment, tous, peuvent-ils contribuer à la réussite de l’Objectif 4 . Tous ont-ils souligné que l’éducation constitue la meilleure inversion dont nous pouvons faire en ce qui concerne notre avenir.
Le Président de l’Assemblée Générale des Nations Unies , a aussi mis sur pied , profitant cette occasion, le Réseau de Base Global sur éducation inclusive de qualité et apprentissage permanent
L’UNESCO maintient son site web afin de contrôler le progrès en éducation :https://www.education-progress.org/en/
– article de Rohan Dominic T. L., CMF